«C’est une peinture qu’on rapprocherait de la peinture dite de Paysage. Mais ce paysage dure peu. Ici ou là pourrait-on voir des montagnes, des architectures, des ciels, tout pourrait convenir, mais soudain plus rien ne tolèrerait d’apparaître, le coup de pinceau dérape, le motif disparaît». «Les couleurs sont délavées et effacées, affirmant des gestes tout en les niant dans le même temps. Un nouveau paysage s’opère dans la peinture, si peu que pas, laissant toute la place à la tâche». Nicolas Desplats né en 1975 vit et travaille à Marseille