’idée la plus belle que je connaisse est le mouvement libre du vivant.
Nous sommes tous faits de croisements.
Traits d’union.
La procession tourne au bout de la rue et nous la regardons s’éloigner avec circonspection. C’est que nous ne savons pas en quoi consiste la minute qui suit. De petites provocations en petites provocations, on arbore le profil détendu de la confiance.