Lorsqu’un citadin arrive dans la campagne provençale et que, fasciné, il apprend à l’aimer, sa vie change. Ce fut le cas de notre ami photographe.
Il réalisa, en nouveau Candide, qu’il vaut mieux cultiver son jardin miroir du paradis terrestre.
Inutile de courir après des chimères insaisissables : l’Éden était bien là, sous ses yeux.
Pour paraphraser un fameux kôan zen : lorsque Denis Brihat regarde la fleur, la fleur sourit. Tout comme l’humble légume, l’arbre, la feuille ou le brin d’herbe.
Grâce à son art subtil, il nous enseigne comment voir la nature autrement. De la simplicité surgit l’émerveillement…
Marc de Smedt