«Un canapé comme une entité sculpturale, une image fantomatique de quelqu’un potentiellement assis, peut-être là, peut-être pas là, une forme de musique d’ameublement ou la construction d’une ambiance, un espace mental, un poème, un texte qui se construit tard le soir, avec les ombres et les lumières qui traversent les fenêtres, un volume dans un espace domestique, une présence avec un poids ; le problème mathématique de comment le déplacer dans un espace étroit, la question de l’habitation et de l’encombrement, une sculpture mais aussi un bloc de mousse dans l’esprit.»
Sergio Verastegui