Le travail de Juliette George repose principalement sur le texte, adoptant une esthétique bureaucratique et s’appuyant sur un héritage conceptuel. Elle entremêle à des déformations littéraires de matériaux non poétiques a priori ou de petites histoires drôles, personnelles et réflexives, la grande histoire, que celle-ci se rapporte à la mesure, à la banque, à la spéculation, ou au pouvoir.
Au 3 bis f, Juliette George explorera la place du récit et de la fiction dans l’exposition.