Catherine Melin propose des pièces nouvelles dont la caractéristique est qu’elles sont… sonores. Son travail actuel renvoie avec la même force aux origines mêmes à la fois historiques et irréductibles d’un art du bruit, de la machine et non pas du sonore domestiqué. Cette fascination de la machine a traversé le XXe siècle jusqu’à nos jours sous formes d’expérimentations sonores et musicales.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.