«Nathalie Hugues peint des lieux (…) Ces lieux n’ont rien de spécial. Bords de ville, bords de campagne, espaces intermédiaires. Des non-lieux ? Des lieux mentaux ? On ne peut les imaginer habités que par les personnages incongrus, déracinés, des films de Julie Chaffort, ou les bergers d’ounayes d’Alain Guiraudie.» (Claire Colin-Collin)
«Si Victoire Decavèle s’appuie sur l’infini, le paysage et le nocturne, qui pour Kant sont quelques unes des conditions du sublime, ses toiles se prêtent et résistent à cette expérience esthétique, la relativisant, dans sa rencontre avec le trivial.» (Marine Schütz)