Le Printemps de l’Art Contemporain 2026

La 18e édition du PAC promet 2 semaines de festivités, généreuses et foisonnantes.

▸ Du 13 au 24 mai 2026

▸ Réparti sur tout le territoire : Marseille, Aix-en-Provence, Port de Bouc, Istres, Miramas, Rognes, Châteauneuf-le-Rouge, et Rousset

Près de 70 lieux d’art et de culture d’Aix-Marseille-Provence unissent force et imagination pour proposer un programme riche : vernissages, expositions, performances et rencontres.

Imaginée par les membres du réseau Provence Art Contemporain rejoints par des structures complices du festival, cette célébration collective, en se faisant le témoin de notre volonté de mutualisation envers les artistes, les travailleureuses de l’art et les publics, donne à voir la singularité et la vitalité de notre écosystème dans toute sa finesse et sa diversité.

→ Voir le retour en images de l’édition 2025


➊ Les rendez-vous dans l’espace public

Pendant le Printemps de l’Art Contemporain, une programmation collective de performances dans l’espace public est proposée par les membres du réseau.

Ces rendez-vous jalonnent la carte du festival pour dévoiler au public ce que l’art contemporain a de plus vivant. La performance, médium d’une vitalité extraordinaire, décuple ici sa portée émancipatrice et politique en investissant l’espace public à travers la Métropole.


➋ Les circuits

Le festival PAC vous embarque pour des journées de découvertes, de balades artistiques et d’explorations intenses à travers Marseille, Aix-en-Provence et les paysages de Provence.

À pied ou en navette, suivez les parcours imaginés quartier par quartier, laissez-vous porter par le rythme du territoire et la richesse des lieux.


➌ Une édition 2026 vibrante

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Éditions passées

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La 18e édition du PAC promet 2 semaines de festivités, généreuses et foisonnantes.

▸ Du 13 au 24 mai 2026

▸ Réparti sur tout le territoire : Marseille, Aix-en-Provence, Port de Bouc, Istres, Miramas, Rognes, Châteauneuf-le-Rouge, et Rousset

Près de 70 lieux d’art et de culture d’Aix-Marseille-Provence unissent force et imagination pour proposer un programme riche : vernissages, expositions, performances et rencontres.

Imaginée par les membres du réseau Provence Art Contemporain rejoints par des structures complices du festival, cette célébration collective, en se faisant le témoin de notre volonté de mutualisation envers les artistes, les travailleureuses de l’art et les publics, donne à voir la singularité et la vitalité de notre écosystème dans toute sa finesse et sa diversité.

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Les rendez-vous dans l’espace public

Pendant le Printemps de l’Art Contemporain, une programmation collective de performances dans l’espace public est proposée par les membres du réseau.

Ces rendez-vous jalonnent la carte du festival pour dévoiler au public ce que l’art contemporain a de plus vivant. La performance, médium d’une vitalité extraordinaire, décuple ici sa portée émancipatrice et politique en investissant l’espace public à travers la Métropole.


Les circuits

Le festival PAC vous embarque pour des journées de découvertes, de balades artistiques et d’explorations intenses à travers Marseille, Aix-en-Provence et les paysages de Provence.

À pied ou en navette, suivez les parcours imaginés quartier par quartier, laissez-vous porter par le rythme du territoire et la richesse des lieux.


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Éditions passées

jm-copie

les cibles

  • Jean Marie Gleize
  • Exposition du 17 avril au 29 mai 2021
  • dans le cadre du festival PAC

«Je ne savais pas. C’est ainsi que ça commence. Dans un jardin à Aix. Il tirait sur des cibles. Il avait cloué ces cibles sur la branche d’un arbre. Je l’ai regardé viser, tirer. C’était comme un spasme nerveux, involontaire, une décharge sans raison, contre rien. Un geste en direction de cet arbre, en relation avec lui. J’ai ramassé ce qui restait, des traces au sol comme des feuilles tachées, trouées. Je les ai déchirées, les ai maculées d’encre rouge, et puis je les ai perdues. C’était au tout début des années 90. Et vers la même époque, en Californie et dans le Vermont, j’ai pratiqué intensément (de façon quasi pulsionnelle) la captation mécanique du réel, minimale, brutale, d’un réel simplement là : image sans contenu (comme les cibles), sans négatif, instantané unique sans copie ni retouche possibles, celle du Polaroïd. Quelque chose comme la straight poetry, la poésie «directe» ou «raide», ou encore «dure» ou «crue», ou même «droite», ou «plate», littérale.» Jean-Marie Gleize.

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