À travers parures, tissages, céramiques et tatouages, l’exposition montre comment ces gestes et objets, loin d’être décoratifs, incarnent protection, mémoire collective et identité sociale.
Environ 150 pièces – bijoux, textiles, poteries, vanneries, sculptures ou archives – dialoguent avec des créations contemporaines, retraçant la place essentielle des femmes dans la transmission des savoir-faire et des symboles. L’exposition interroge aussi la « permanence berbère » et la vitalité de ce matrimoine au sein des diasporas amazighes.