Dans «Face of universe», les écosystèmes de différentes villes sont reproduit par un algorithme et des images et de la musique sont ensuite générées par une intelligence artificielle.
Tatsuru Arai questionne le développement de la science et de la technologie humaine qui affecte notre vision de l’univers. Il suggère que les fleurs font partie de l’écosystème et sont capables d’absorber la matière expulsée par les humains et de fonctionner comme une partie de leur écologie.