Le Printemps de l’Art Contemporain 2025

Du 2 au 18 mai, plus de 391 artistes et 65 structures culturelles nous invitent à ouvrir les yeux, à ressentir fort et à goûter le fruit de leurs convictions par tous les moyens artistiques possibles.

Avec un grand week-end d’ouverture à travers tout Marseille du 2 au 4 mai, 8 performances présentées dans l’espace public, 50 vernissages et soirées spéciales, des temps forts à Aix-en-Provence, des circuits sur les routes de campagne à Rognes, Rousset et Châteauneuf-le-Rouge, vers les villes du pourtour de l’étang de Berre à Port de Bouc, Istres et Miramas, la 17e édition du PAC promet 3 semaines de festivité, généreuse et foisonnante.

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➊ Défendre la création, les artistes, la mutualisation

Imaginée par les membres du réseau Provence Art Contemporain rejoints par des structures complices du festival, cette célébration collective, en se faisant le témoin de notre volonté de mutualisation envers les artistes, les travailleureuses de l’art et les publics, donne à voir la singularité et la vitalité de notre écosystème dans toute sa finesse et sa diversité.


➋ Les temps forts du festival

Le Printemps de l’Art Contemporain s’articule autour de 3 week-ends du 2 au 18 mai.

Week-end d’ouverture : Marseille
Faites le pont, faites le PAC !
Du 2 au 4 mai, la programmation s’organise par quartier à Marseille. Une incitation à la circulation intelligente pour s’imprégner de l’énergie artistique de la ville durant 3 journées et 3 soirées. Vernissages, performances, dj sets, soirées spéciales, sont autant d’activations à découvrir dans 47 lieux différents.

Week-end II : Aix-en-Provence et Pays d’Aix
À nous la Victoire !
Le 2ème temps fort du PAC prend ses quartiers en terre aixoise. Avec un programme dans le centre-ville le samedi, puis sur les chemins de campagne le dimanche. En direction de la sainte-Victoire, le Printemps de l’Art Contemporain parcourent à pied et en navette les lieux d’art contemporain dédiés ou investis spécialement pour l’occasion par les membres du réseau.

Week-end III : Étang de Berre et clôture
Préparez votre virée à l’Ouest
Pour conclure cette 17e édition, le 3ème week-end nous conduit à Port de Bouc, Istres et Miramas. Une embarcation pour une visite hors des sentiers battus entre centres d’art et parc naturel en bordure du littoral et des rives de l’étang de Berre.
Dimanche 18 mai, de 16h à 23h, retrouvez-nous sur le site de Luminy pour célébrer cette 17e édition du Printemps de l’Art Contemporain aux côtés des artistes et membres du réseau PAC. Au programme, une performance itinérante depuis l’école des Beaux Arts jusqu’au belvédère de Sugiton, suivi d’une fête sur le site de l’ancienne école d’architecture.


➌ Les rendez-vous dans l’espace public

Pendant le Printemps de l’Art Contemporain, une programmation collective de 10 performances dans l’espace public est proposée par les membres du réseau.

Ces rendez-vous jalonnent la carte du festival pour dévoiler au public, en 10 points de ralliement, ce que l’art contemporain a de plus vivant. La performance, médium d’une vitalité extraordinaire, décuple ici sa portée émancipatrice et politique en investissant l’espace public à Marseille, Aix-en-Provence, Châteauneuf-le-Rouge et Port de Bouc.


➍ Une édition 2025 vibrante

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Éditions passées

Printemps de l’Art Contemporain

Du 2 au 18 mai, plus de 320 artistes et 65 structures culturelles nous invitent à ouvrir les yeux, à ressentir fort et à goûter le fruit de leurs convictions par tous les moyens artistiques possibles.

Avec un grand week-end d’ouverture à travers tout Marseille du 2 au 4 mai, 7 performances présentées dans l’espace public, 50 vernissages et soirées spéciales, des temps forts à Aix-en-Provence, des circuits sur les routes de campagne à Rognes, Rousset et Châteauneuf-le-Rouge, vers les villes du pourtour de l’étang de Berre à Port de Bouc, Istres et Miramas, la 17e édition du PAC promet 3 semaines de festivité, généreuse et foisonnante.


➊ Un festival où l’art se partage

Défendre la création, les artistes, la mutualisation.

Imaginée par les membres du réseau Provence Art Contemporain rejoints par des structures complices du festival, cette célébration collective, en se faisant le témoin de notre volonté de mutualisation envers les artistes, les travailleureuses de l’art et les publics, donne à voir la singularité et la vitalité de notre écosystème dans toute sa finesse et sa diversité.


➋ Un temps fort unique

Une programmation riche et pleine de surprises

Au rendez-vous :

  • Des artistes de la scène émergente française et internationale
  • Des performances dans l’espace public et des circuits en navette pour découvrir le Pays d’Aix (À nous la Victoire !) et l’Étang de Berre (Préparez votre virée à l’Ouest!).
  • Des nocturnes dans différents quartiers
  • Une grande clôture festive

➌ Une édition 2025 vibrante

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Gilles Pourtier, Black bloc#3, 30 x 45 cm, tirage jet d’encre.

Gilles Pourtier, Black bloc#3, 30 x 45 cm, tirage jet d’encre.

Does The Angle Between Two Walls Have a Happy Ending?

  • Amandine Simonnet
  • Gilles Pourtier
  • Exposition du 28 août au 27 septembre 2020
  • dans le cadre du festival PAC
Ouvert les vendredis et samedis de 10h à 19h Ouverture exceptionnelle les dimanches 30 août, 13 sept, 27 sept Tous les autres jours sur rendez-vous. Entrée libre.
Proposé par Mécènes du Sud

Le titre est une citation de l’écrivain de science-fiction James Graham Ballard, qui, par la métaphore, fait allusion à une impasse, mais suggère aussi que cet angle mort recèlerait quelque chose. Les œuvres présentées sont au croisement du travail d’A. Simonnet et G. Pourtier et des architectes de l’agence Carta-Associés.

A partir de ses expérimentations et captations réalisées en agence et sur les chantiers, le travail d’Amandine Simonnet observe la façon dont la conception architecturale, influe voire conditionne nos gestes et notre langage. Elle met en exergue des mécanismes d’automatisation et de normalisation dans l’art de sculpter et de penser l’espace.

C’est avec un poème de John Donne que Gilles Pourtier a amorcé sa recherche, dans une résidence qui a eu lieu pendant le confinement. No man is an island nous parle d’interrelation et de condition humaine. Mais aussi de la ville, des îlots dont les strates historiques sont profondes, invisibles, soustraites au premier regard.

Dans le cadre de la Saison du Dessin initiée par Paréidolie.
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