J’efface le vide Une expression employée pour désigner la suppression d’une séquence qui n’est pas nécessaire. L’exposition reflète notre manière d’apprendre et d’interpréter différemment la vie à Marseille. Comment nous acquérons du sens à travers nos antécédents personnels, nos intérêts et le rythme auquel nous vivons nos vies. Ce que nous avons en commun, bien sûr, c’est de nous laisser modeler et façonner par ce nouvel environnement quel que soit le chemin que nous empruntons.
Toujours inachevé.e.s, en tant que personnes comme dans notre pratique artistique, nous déployons comme un rouleau de film une nouvelle expérience et une nouvelle exposition, puis nous coupons ce qui n’est pas nécessaire afin de laisser le meilleur advenir. L’exposition parle de cette croissance, de ce qui nous relie, de l’influence qu’aura cette expérience à Marseille sur notre devenir artistique. Avec des pratiques de photographie, sculpture, textile, peinture, design d’objet, installation, film et son.