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2024 : la 16e édition

  • 1 week-end d’ouverture dans tout Marseille
  • 1 grande clôture à Aix-en-Provence
  • 2 parcours en navette
  • 60 lieux
  • 160 artistes
  • 5 nocturnes et 48 activations

La 16e édition du festival Printemps de l’Art Contemporain, organisée par le réseau PAC, se tiendra du 2 au 19 mai 2024 dans 60 lieux d’art contemporain à Marseille, Aix-en-Provence, Port de Bouc, Istres, Miramas, Rognes, Châteauneuf-le-Rouge et Rousset.

Avec un week-end d’ouverture à Marseille, des nocturnes par quartier, une grande clôture festive à Aix-en-Provence en collaboration avec la Biennale d’Aix, et des circuits en navette à destination du Pays d’Aix et des villes du pourtour de l’Étang de Berre, ce sont plus de 160 artistes de la scène émergente française et internationale qui sont invité·es à participer à ce rendez-vous incontournable de l’art contemporain en France.

Depuis 2007, le réseau Provence Art Contemporain fédère des structures engagées dans la création contemporaine, des lieux ancrés dans les centres urbains et les territoires ruraux, issus des secteurs public et privé.
Pendant le Printemps de l’Art Contemporain, les membres du réseau sont rejoints par des structures complices du festival « autour de la même volonté de défendre la création, les artistes, la mutualisation. Nous sommes réunis par la volonté de mettre en commun tous les moyens nécessaires aux artistes pour travailler, nous sommes réunis par la volonté de faire avec tous les publics, dans les écoles, les prisons, les hôpitaux, etc. Avec toutes les dimensions de la société. Les valeurs qui font la puissance créative de notre réseau ne peuvent être séparées d’un devenir-monde. »*

Nous vous attendons dès jeudi 2 mai à 17h pour lancer cette 16e édition avec une grande nocturne dans les quartiers Opéra, Préfecture, Cours Julien et Camas. Le top départ sera donné par une performance dans l’espace public en présence de Jean-Marc Coppola, Adjoint au Maire de Marseille en charge de la culture pour toutes et tous, de la création, du patrimoine culturel et du cinéma.

*Extrait de l’édito de Céline Ghisleri, Laure Lamarre Flores et Paul-Emmanuel Odin, co-président·es du réseau PAC.

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La 16e édition du festival Printemps de l’Art Contemporain, organisée par le réseau PAC, se tiendra du 2 au 19 mai 2024 dans 60 lieux d’art contemporain à Marseille, Aix-en-Provence, Port de Bouc, Istres, Miramas, Rognes, Châteauneuf-le-Rouge et Rousset.

Avec un week-end d’ouverture à Marseille, des nocturnes par quartier, une grande clôture festive à Aix-en-Provence en collaboration avec la Biennale d’Aix, et des circuits en navette à destination du Pays d’Aix et des villes du pourtour de l’Étang de Berre, ce sont plus de 160 artistes de la scène émergente française et internationale qui sont invité·es à participer à ce rendez-vous incontournable de l’art contemporain en France.

Marc Ragouilliaux, L’usage de Mons, 11,12,18,19 septembre. Crédit phot Lucien Mandalian

*Marc Ragouilliaux, L'usage de Mons, 11,12,18,19 septembre. Crédit phot Lucien Mandalian*

Projeter, retenir. Essai de perspective

  • Marc Ragouilliaux
  • Exposition du 13 mai au 30 septembre 2021
  • Installation du 11 au 19 septembre 2021
Vernissage le 11 septembre 14h à 18h Visites les 11,12,18,19 septembre 2021 de 14h à 18h. Gratuit.
Proposé par Atelier-galerie Zemma

Marc Ragouilliaux, plasticien, présente L’usage de Mons, une installation conçue avec la participation de Claude Cieutat, photographe et plasticien. Un évènement dans le prolongement de l’exposition en cours Projeter, retenir. Essai de perspective à la galerie Zemma à Marseille jusqu’à fin septembre
Notre trajectoire se tend par la radicalité des besoins d’une humanité décente.
Dans une maison de Mons (Var) l’architecte Henri Gueydan, en 2003, substitue aux planchers traditionnels , des planchers de verre, créant une espace de transparence, un appel à l’unité des sens Mais, la transparence est-elle seulement une source d’élévation ? Elle est tout autant le foyer d’une possible perte car, la peur d’une exposition à la multitude est surtout liée au risque de ne pas pouvoir rencontrer d’appuis. Par temps hostiles, cet essai de perspective vise donc ce qui est encore modifiable pour une Terre capable de porter la gravité des rêves, si frêles et rares soient-ils.

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